Notre surimi
Chez Coraya, nous avons à cœur de valoriser les richesses marines. On vous dit tout !
L’origine de notre surimi
Une recette simplissime
2… c’est le nombre d’espèces de poissons sauvages que nous utilisons dans notre surimi Coraya : le Colin d’Alaska et le Merlu du Pacifique, pêchés de manière responsable. Nous n’utilisons pas de poisson d’élevage dans nos recettes.
Chez Coraya, nous nous engageons à vous offrir des produits avec des listes d’ingrédients sans conservateur, ni colorant artificiel, ni arôme artificiel. On vous dit tout sur nos recettes !
1. De la chair de poissons sauvages.
Pêché de manière responsable dans les mers froides du Pacifique Nord (et plus précisément, les zones FAO 61 et 67), nous n’utilisons que la partie noble du poisson, la chair, à hauteur de 40% dans nos recettes L’Original et Petits Coraya. Nous n’utilisons aucun déchet !
2. Du blanc d'oeuf.
Il participe à la texture des bâtonnets. En 2020, la CIWF nous a récompensé d’un trophée Œufs d’Or pour notre engagement à n’utiliser que du blanc d’œuf issu de poules élevées au sol.
3. Amidon de blé et pomme de terre.
Elles permettent d’obtenir une texture ferme à l’extérieur et moelleuse à l’intérieur.
4. L'huile de colza.
Elle est extraite de graines de colza françaises et européennes.
5. Sel et sucre.
Du sel : Il sert à assaisonner et renforcer le goût du poisson.
Du sucre : Présent en infime quantité, il sert à la conversation de la chair de poisson mais aussi à faire ressortir toutes ses saveurs dans nos bâtonnets.
6. Extrait de praprika.
Issu du poivron, il apporte une belle couleur orangée.
7. Arômes naturels.
Les arômes naturels de crustacés et blé permettent de donner toute la typicité du surimi Coraya.
Notre savoir-faire
Depuis plus de 30 ans, nous avons développé une véritable expertise pour vous faire découvrir de savoureux plaisirs marins, finement préparés avec du poisson issu de la pêche responsable, pour des moments conviviaux, spontanés et plein de fraîcheur.
Le surimi Coraya est cuit à la vapeur et garanti sans conservateur, ni arôme artificiel, ni colorant artificiel.
1. La découpe du poisson.
Pour un maximum de fraîcheur, cette première étape s’effectue en mer, à proximité de la zone de pêche, dans les jours qui suivent la capture du poisson. Seule la chair est intégrée à notre recette.
2. La préparation du poisson.
Une fois la chair hachée et lavée, on y ajoute un peu de sucre pour la protéger lors de l’étape suivante : la surgélation. Elle est ensuite acheminée jusqu’à nos ateliers de fabrication, situés sur les côtes normandes, à Carentan-Les-Marais.
3. Préparation de la pâte.
Mélangée avec de l’eau et les autres ingrédients, en dehors de l’extrait de paprika, la chair prend la forme d’une pâte lisse et onctueuse, prête à être travaillée. Nous n’ajoutons aucun conservateur, arôme ou colorant artificiel tout au long de notre recette.
4. Cuisson à la vapeur.
La pâte est ensuite étalée sur une plaque chauffante. Une fine couche de la préparation est recouverte d’extrait de paprika, qui confère à nos bâtonnets leur couleur orange. Une fois prête, la pâte est cuite à la vapeur.
5. Roulage des bâtonnets.
Une fois cuite, la pâte est enroulée sur elle-même. Les bâtonnets sont ensuite découpés.
6. Emballage primaire et pasteurisation.
Emballés dans nos sachets fraîcheur, nos bâtonnets sont pasteurisés à la vapeur pour garantir toute leur sécurité.
Un aliment qui a tout bon !
Afin de vous offrir toutes les richesses de la mer, nous nous engageons à vous offrir des produits avec des listes d’ingrédients les plus simples possibles, sans conservateur, ni colorant artificiel, ni arôme artificiel. Nos bâtonnets de surimi L’Original sont riches en protéines, faibles en acides gras saturés, et notés Nutri-score B.
Nous défendons également une vision positive de l’alimentation, formalisée sous le hashtag #PositiveFood, en vous proposant des recettes simples à réaliser, gourmandes et équilibrées, et toutes notées Nutri-score A ou B.
Le surimi c'est quoi ?
Le surimi est issu d'une recette traditionnelle japonaise apparue il y a plus de quatre siècles : le kamaboko.
